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Masquée

11 décembre 2013

Avant

Il fut un temps ou je vivais...

Je vivais de l'amour de mon conjoint, ma famille, mes amis.

J´avais une vie riche en relations et partages.

J'adorais aller au restaurant, au cinéma, faire du lèche vitrine, recevoir mes amis.

RIRE de tout et de rien.

Bouger au gré de mes envies, j'étais imprévisible et joyeuse.

Meme si, parfois, comme tout le monde, j'avais un petit coup de déprime à cause du temps, de petit soucis

futiles avec le boulot ou quelques difficultés financières....

Bah... Tout était bon a vivre et a prendre...

Je ne savais rester sur place, étant active. Je restais disponible et sincèrement à l'écoute de tous...

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5 décembre 2013

Je vais aller prendre un bain chaud. Histoire de

Je vais aller prendre un bain chaud.

Histoire de calmer mes douleurs dorsales.

(ET SI, et si je m'enfonçais lentement dans ce bain, laissant entrer en moi le flux de l'eau dans mes poumons.

ET si, je m'enfoncais simplement pour fuir la réalité de mon état.)

Accepter cet état n'est, normalement, pas une fin en soi. Cependant faut il encore accepter cet état et tout ce que cela implique !!!

Oui, il faut le vivre pour le comprendre, moi meme, ne le comprennais pas autrefois. Me voilà punis !!!

Pointer du doigt ces gens là. Ceux qui, par une maladie invisible, imaginaire, se voient dans l'impossibilité de travailler !

Faineants oui !!!

C'est si facile de dire que l'on souffre de depression !

"Il a posé un arrêt  pour depression !!! PPpppffftttt !!! Tu vois le genre !!!"

Ouais, je vois le genre !!!

Le regard lourd de supposition, exacerber par une intolerance et non pas des moindre !

Je sais... J'étais aussi intolerante et impitoyable !!!

5 décembre 2013

Parfois, je me dis qu'une hospitalisation serait,

Parfois, je me dis qu'une hospitalisation serait, peut etre, la solution à mon problème.

Mon problème de personnalité, d'alcool, de depression.

Je n'ai pas forcement l'impression de vivre mais de survivre, dans un état d'abandon precaire ou les idées fusent de toute part.

Je suis complètement déstabilisée, perdue.

Les idées noires s'enchainent sans que je puisse les retenir. l'envie d'en finir lors de ces crises d'angoisses ou de douleurs qui s'emparent  de moi sans meme que je ne le desire.

Moi, qui était d'une nature enjouée...

Autrefois, j'avais une telle confiance en moi, que j'aurais pu abattre des montagnes. Puis un calvaire, un cauchemar, un piège et me voilà bien loin de tout ce que je pouvais representer jusqu'à maintenant.

Aujourd'hui, je ne suis que l'ombre de moi meme. Essayant en vain de retrouver un semblant de vie.

Plus rien ne me satisfait, plus rien ne me fait sourire, plus rien ne me convient.

5 décembre 2013

La douleur

Aussi incroyable que cela puisse paraitre, la douleur est omnipresente.

Aujourd'hui, mon dos me fait souffrir atrocement, j'ai beaucoup de mal à me mouvoir et les brulures restent indescriptibles.

Il m'est impossible de me deplacer, de bouger sans difficultés.

Je suis completement épuisée. La douleur est telle que mon visage se crispe, grimançant.

Comment est ce possible ?

Comment supporter cette douleur lancinante qui me brule le corps ?

Mes articulations sont douloureuses, je n'arrive plus à reflechir, à me concentrer.

L'horreur dans toute sa splendeur. Un cauchemar !!!

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